Suite au droit de réponse exercé le 23 août 2021 par le comité départemental des pêches (CDPMEM56) dans le journal Ouest-France, à la suite du compte-rendu de l’assemblée générale de l’association de sauvegarde et de protection du littoral de Gâvres (ASPLG), la municipalité de Gâvres rappelle sa position :
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Les variations de stocks de coques obéissent à des cycles naturels plus ou moins longs de variations de la densité et ne peuvent justifier un réensemencement.
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La petite mer de Gâvres, domaine public, est fréquentée depuis des siècles par de nombreux pêcheurs non professionnels, et doit rester un espace partagé entre tous les utilisateurs.